Le nazisme est en train de devenir un terrain de jeu où s’amusent les bad boys d’un Hollywood qui décident ce qui est réel et ce qui ne l’est pas.
Ses façons d’émeutier mâtinées de dandysme rendent BHL plus conforme à la chevalerie lettrée du XIXe siècle qu’au froid désenchantement du nôtre.
« Le Diable en tête » est un roman passionnant qui embrasse, à travers le portrait d’un terroriste, toute la légende, sombre, voluptueuse et cruelle, du siècle.
Puisque l’écrivain est une « lumière isolée », Bernard-Henri Lévy a voulu, dans son second roman, explorer l’énigme Baudelaire.
BHL publie son deuxième roman. Alors, le Lévy philosophe a-t-il définitivement cédé la place à un Lévy romancier ?
La règle du jeu : des noms, un jeté de noms, dont le point commun était d’avoir, d’une manière ou d’une autre, compté dans la vie intellectuelle ou personnelle de BHL.
Tous contre Rocard. Attention au « syncrétisme » ! La rage de Mitterrand. Comme un bœuf sur la langue. Rocard, Président ?
Et si le communisme revenait ? Relire Althusser. Sollers, éditeur. Dizdarevic à Paris. A quoi sert la mémoire ? Daney, Griffith et Malraux. Preneurs d’otages et d’images.
Les terroristes d’aujourd’hui sont muets. Ils ne feignent même plus d’avoir des idées. Ce terrorisme sans mots, c’est un terrorisme pur, brut et, au fond, absolu.
Ce que fait Gilles Jacob. Comment filme Kassovitz. « Bosna ! », un an après. Le cinéma et ses sociétés secrètes. L’événement Oliveira.
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