Du siège des Nations unies à Washington et Los Angeles, le philosophe et reporter de guerre montre son dernier film pour que l’on n’oublie pas l’Ukraine.
En menant la première enquête sur la mort de Daniel Pearl, BHL affronte la question de l’islamisme et rend hommage au travail des journalistes.
Bernard-Henri Lévy a repris ses carnets de bourlingueur et de... redresseur de torts. Sa « romanquête » fait un tabac. L’assassin du journaliste Daniel Pearl sert de cadre à une mise en garde terrifiante contre les dangers que l’islamisme pakistanais ferait courir au monde.
Une formidable enquête de Bernard-Henri Lévy au cœur du fanatisme islamique le plus absolu. Ce qu’il révèle pose les vraies questions sur le visage de la haine.
L’écrivain-philosophe publie une enquête aux informations inédites sur la mort de Daniel Pearl, journaliste américain décapité au Pakistan.
C’est un livre incarné, un récit physique, écrit avec le corps autant qu’avec l’âme, un réquisitoire dangereux, qui accuse et demande des comptes à un État curieusement ménagé par les stratèges de la Maison-Blanche : le Pakistan.
Le 1er décembre 2003, Bernard-Henri Lévy participait à la cérémonie de lancement de ce que l’on a appelé « l’Initiative de Genève » pour la paix au Proche-Orient, en tant qu’« Ambassadeur pour l’Europe » pour cet accord.
Le philosophe a toujours été partisan de la solution à deux États. Mais le règlement politique ne peut être à l’ordre du jour tant que le Hamas n’est pas anéanti.
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