Dans son dernier essai BHL réactive opportunément le débat – déjà ancien – sur ce qui peut, ce que doit être un intellectuel français.
Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.
Bernard-Henri Lévy est au centre de tous les grands débats contemporains. Il vient de publier « Récidives » chez Grasset.
Ce style de roman, la biographie romancée, d’où viennent-ils ? Dans quelle tradition BHL se situe, avec son ouvrage sur Baudelaire ?
Dans le cas de Bernard-Henri Lévy, désormais, les meilleurs journalistes peuvent se perdre dans des eaux boueuses.
Dans un petit livre clair et dense, « De la guerre en philosophie », Bernard-Henri Lévy répond à la question : « Comment philosophe-t-il ? »
Le philosophe de Saint-Germain-des-Prés a des défauts, mais il est cohérent et s’inscrit dans la lignée des philosophes engagés.
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
Avec la disparition du philosophe, Bernard-Henri Lévy perd un « compagnon de route » avec lequel il mena tous ses combats importants.
À propos d’une série d’ouvrages consacrés au journal « Le Monde » – en particulier l’ouvrage de Pierre Péan et Philippe Cohen, « La Face cachée du Monde » (Fayard).
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