Gilles Deleuze a violemment attaqué la Nouvelle Philosophie et ses penseurs, BHL en particulier, son premier essai étant dirigé contre Deleuze.
Dans années 70, BHL crée un quotidien de gauche et publie ses premiers essais chez Grasset qui lancent la Nouvelle philosophie.
Le dernier livre de BHL est une biographie intellectuelle à demi rêvée de l’auteur lui-même, à mi-chemin de la confession et du manifeste.
Pour son feuilleton, Bertrand Poirot-Delpech a lu « Éloge des intellectuels » de BHL, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut.
Jorge Semprun a lu « Éloge des intellectuels » de Bernard-Henri Lévy, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut. Le débat est ouvert.
Après les Cambodgiens, les Afghans et les Polonais, l’écrivain Bernard-Henri Lévy prend la défense des intellectuels. Son nouveau livre est un plaidoyer contre les bateleurs qui les ont peu à peu remplacés dans tous les médias.
On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
Le premier roman de BHL raconte la destinée tragique d’un rejeton de la grande bourgeoisie parisienne né sous l’Occupation.
Ses façons d’émeutier mâtinées de dandysme rendent BHL plus conforme à la chevalerie lettrée du XIXe siècle qu’au froid désenchantement du nôtre.
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