La petite phrase de Lionel Jospin évoquant le caractère « terroriste » des actions du Hezbollah était frappée au coin du bon sens.
La mort d’une idée. Les vœux du président. La littérature à France Télévision. Soustelle, le palimpseste. Les lunettes d’Arafat. Xavier Beauvois, le sida et le cinéma. Si le public avait du talent.
Redire les leçons rapportées de Ramallah et Colombo, à Sri Lanka, dont on oublie toujours qu’il fut le berceau des hommes-bombes.
Konopnicki sur Israël, les Palestiniens, a le mérite de repartir de zéro et de déblayer des idées reçues qui paralysent, sur le sujet, la réflexion.
On ne peut s’empêcher, si l’on est attaché à la cause d’Israël et à celle de la justice à l’endroit des Palestiniens, de reprendre timidement espoir.
Pourquoi la guerre en Irak était une erreur ? La flamme de la jeunesse intacte de Glucksmann. Ne pas fêter Sartre en oubliant Benny Lévy.
Qu’est-il arrivé à l’ancien prix Nobel de la paix ? Est-ce la vanité de celui qui n’est plus rien et qui veut un dernier quart d’heure de lumière ?
La diabolisation d’Israël n’aura-t-elle donc jamais de fin ? Trois événements récents, trois signes, obligent à se poser, à nouveau, la question.
Comment tant d’esprits raisonnables peuvent-ils accueillir comme une bonne nouvelle cette réconciliation Fatah/Hamas ?
Ilya Samoïlenko, commandant en second du régiment Azov assiégé par les Russes dans la ville martyre de Marioupol, s’est confié à Bernard-Henri Lévy.
Réseaux sociaux officiels