Quand un intellectuel Ukrainien rend hommage à BHL pour son action en faveur de l'Ukraine et son discours prononcé sur la place Maïdan.
Galia Ackerman revient sur l'engagement de Bernard-Henri Lévy et André Glucksmann lors de la révolution du Maïdan de 2014 en Ukraine.
Invasion de l’Ukraine ou non, Poutine a trois objectifs stratégiques, dont le moindre n’est pas d’humilier ou de ridiculiser l’Occident.
Invité à Washington, le philosophe a acquis la conviction qu’une certaine Amérique, celle des droits de l’homme, est paradoxalement de retour.
Ne mâchant pas ses mots contre les soutiens français de Poutine, le philosophe défend la politique étrangère de Macron et plaide pour le boycott des JO de Pékin.
Dans son discours de clôture de la 6ème Convention nationale des avocats, organisée par le Conseil national des barreaux à Montpellier, du 28 au 31 octobre 2014, BHL évoque la relation du métier d’avocat avec l’idéal démocratique et sa pratique.
Le 2 mars 2014, Bernard-Henri Lévy prononce un second discours sur la place du Maïdan à Kiev. Il s’adresse alors à la foule qui a fait preuve d’un grand courage face à la répression de la police de Ianoukovitch et a ainsi infligé une « défaite historique à la tyrannie ».
Le 9 février 2014, sur la place du Maïdan à Kiev, en Ukraine, Bernard-Henri Lévy adresse ces mots aux insurgés du mouvement « Euromaïdan », ces Ukrainiens courageux qui font face à la Russie de Poutine.
À New York, en novembre 2015, au cours de la cérémonie de remise à François-Henri Pinault de la médaille annuelle de l’Anti-Defamation League, Bernard-Henri Lévy rend hommage à l’ami de longue date et revient sur les liens qui unissent Paris et New York.
Lors de cette rencontre à l’Académie Mohyla de Kiev, le 16 mai 2014, à l’occasion du « Forum européen » organisé par Leon Wieseltier, BHL définit ce qu’est le poutinisme tout en montrant que l’Europe est aussi forte que Vladimir Poutine est faible.
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