« Le Devenir du Nombre » d’un jeune essayiste, poète et romancier, Mathieu Terence, est un des livres les plus stimulants de la saison.
Le désir que l’on sent à l’œuvre dans cette phase de l’interminable et nauséeux feuilleton Strauss-Kahn est un désir de meurtre symbolique.
Pourquoi cette affaire d’investissement du Qatar dans les banlieues françaises est-elle, en l’état actuel des choses, si problématique ?
Et si la célébration de Mai 68 s’abreuvait à la source de l’événement – à l’impertinence, la rage ironique, la fraternité érudite ?
Pourquoi, alors qu’il espérait lui aussi la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, l’écrivain n’arrive pas à se réjouir et s’inquiète.
Bernard-Henri Lévy a, lui aussi, été profondément touché par la cérémonie de samedi dernier et les adieux à notre étoile nationale.
Les dictateurs Abadi, Erdogan, el-Assad et Khamenei, menacent les Kurdes de représailles pour essayer de faire taire leur volonté d’indépendance.
Est-ce par tactique ou par conviction qu’il choisit de gouverner au centre ? Que devient la nation ? Est-il, en histoire, plutôt Machiavel ou plutôt Hegel ?
Au bout d’une succession de péripéties improbables que l’on n’aurait pu imaginer, un jeune homme, presque inconnu il y a un an, entre à l’Élysée !
Il y a quinze ans, un deuxième tour avec Le Pen c’était un séisme : aujourd’hui, c’est une évidence. Comment on a pu en arriver là ?
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