L’intellectuel a deux caractéristiques principales, comme deux taches de naissance. Prophète, il nous montre la voie du paradis. Juge, il dénonce l’enfer des autres.
Les massacres du 7 octobre ont inspiré à Bernard-Henri Lévy et Gérard Araud deux livres, deux réflexions profondes et complémentaires sur Israël, son peuple et son histoire. Le lyrisme du philosophe et le réalisme du haut diplomate se rejoignent dans un même idéal de justice.
Le texte de BHL traduit de nombreux malaises. Comment faire passer un message sans avoir l’air de se faire de la pub ?
Les intellectuels se meurent ? Le mot « engagement », est-il encore dans le dictionnaire des idées ? Lévy et Finkielkraut en plein désarroi.
« Éloge des intellectuels » de BHL, qui évoque entre autres Sartre et Aron, ou l’avenir des intellectuels, soulève déjà des controverses.
Pour son feuilleton, Bertrand Poirot-Delpech a lu « Éloge des intellectuels » de BHL, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut.
L’auteur de l’« Éloge des intellectuels » n’a pas participé samedi à l’émission de Michel Polac consacré à la culture. Il explique pourquoi et répond à ses détracteurs.
Jorge Semprun a lu « Éloge des intellectuels » de Bernard-Henri Lévy, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut. Le débat est ouvert.
Dans son nouveau livre, « Solitude d’Israël », le philosophe Bernard-Henri Lévy dénonce le négationnisme qui relativise le pogrom du 7 octobre.
Après les Cambodgiens, les Afghans et les Polonais, l’écrivain Bernard-Henri Lévy prend la défense des intellectuels. Son nouveau livre est un plaidoyer contre les bateleurs qui les ont peu à peu remplacés dans tous les médias.
Réseaux sociaux officiels