Avec son coup de gueule théâtral, BHL revient aux sources de l’idée européenne, interroge les mythes et les penseurs.
Il publie son 43e livre, « L’Empire et les cinq rois », chez Grasset. L’occasion, à quelques mois de son 70e anniversaire, de revenir sur le parcours de ce philosophe qui travaille à sa postérité depuis longtemps déjà.
Les adieux de Mitterrand. Fin de la politique. Courez voir « Tsahal ». Les citoyens contre la corruption. Goethe et Schiller. Destin tragique d’Arafat. Semprun dans une langue étrangère.
Le romancier doit-il s’interdire de mêler des personnages de fiction à des personnages historiques ? Le roman est-il un genre conciliable avec l’idéologie ? À ces questions, BHL tente de répondre et, pour la première fois, à la lumière de sa propre expérience d’écrivain, prend position.
Où en est la télévision publique cent et quelques jours après l’annonce, par Nicolas Sarkozy, qu’on allait y interdire la publicité ?
À l’occasion de la sortie en salle de « Slava Ukraini », nous avons questionné le plus littéraire des cinéastes engagés. Interview.
Le philosophe, cinéaste et grand reporter a vu « 2, place de la Victoire, Kyiv », le film de Romain Goupil tourné dans l’Ukraine en guerre.
« Slava Ukraini » est conçu comme un journal de bord d’une heure et trente-cinq minutes qui nous emmène sur les lignes de front de l’Est et du sud du pays ainsi qu’aux côtés des populations civiles.
Savoir que la culture et l’information coûtent est sain. Supprimer la contribution à l’audiovisuel public serait une erreur.
À Tel Aviv cette semaine, Bernard-Henri Lévy a affirmé que le plus grand allié de Poutine était la lassitude du monde, tout en appelant à la vigilance contre la Russie.
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