En 1993, Bernard-Henri Lévy est le témoin de la rencontre entre le président français François Mitterrand et Alija Izetbegovic, le président bosniaque, qui a lieu grâce à lui. L’écrivain s’est engagé corps et âme auprès des bosniaques lors de la guerre qui opposa ces derniers à la Serbie de 1992 à 1995.
« Maïdan rappelle à l'Europe sa première vocation, la défense de liberté, le respect de l'Etat de droit et la citoyenneté », affirme Bernard-Henri Lévy.
Face au score historique réalisé par le Front national, l'écrivain estime nécessaire de dépasser « l'antifascisme incantatoire ».
L’intellectuel lance un appel en faveur des Kurdes, après le référendum du 25 septembre sur l’indépendance, à l’heure où l’armée irakienne est intervenue dans la province de Kirkouk.
D’après le philosophe, le vote des Britanniques incarne la « victoire du souverainisme le plus sombre », préalable à « un possible crépuscule d’un projet de civilisation ». Soit les Européens se ressaisissent, soit le pire les attend
Le régime de Damas et le Kremlin sèment la mort dans une accablante indifférence. Rien n’a su convaincre nos dirigeants d’agir plus fermement, déplore l’écrivain et philosophe.
Quatre mois après le cessez-le-feu au Haut-Karabakh, des personnalités françaises réclament la libération des Arméniens détenus en Azerbaïdjan.
En pleine crise identitaire, que peut apporter le judaïsme ? Est-il universel au sens du souci, de la pensée de l’Autre ? Cet « Autre » qui peut revêtir tant de visages. C’est ce à quoi tente de répondre le philosophe, au travers de questions d’actualité politique et intellectuelle.
Dans un monologue où il appelle à une refondation de l'Europe, joué dans 22 villes du continent, BHL combat le populisme à sa façon.
Au lendemain de sa tournée dans 22 villes européennes pour y porter son « texte de combat » contre la montée des populismes, le philosophe décrypte les retombées du scrutin européen.
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