L’affaire Rushdie aurait pu faire une autre victime : cet islam des Lumières dont l’obscurantisme contemporain n'a, visiblement, pas triomphé. Le combat continue.
BHL dialogue avec Salman Rushdie à Londres en 1995. Il découvre un auteur animé par le même type de préoccupations que d’autres écrivains — le style, l’écriture, les jeux de l'œuvre et de la gloire, les médias, le spectacle, l’authenticité et le mensonge, la figure de l'intellectuel joyeux.
Portrait par BHL d'un Salman Rushdie drôle, facétieux, curieux de tout, amoureux des choses de la vie, merveilleusement amical, modeste.
En octobre 1992, Bernard-Henri Lévy rencontre pour la première fois l'auteur des « Versets sataniques », à Helsinki. Récit de ce premier rendez-vous « rocambolesque ».
Dans un texte écrit en 2014, Armin Arefi revient sur les différents combats qui ont mobilisé Bernard-Henri Lévy en 2009 et 2010 pour défendre la démocratie iranienne. Le philosophe a en effet dénoncé la prise de pouvoir d’Ahmadinejad, avant de s’investir, avec La Règle du Jeu, pour sauver le cinéaste Jafar Panahi, puis Sakineh, victimes du régime islamiste de Téhéran.
Au plus près du terrain, du front à la résistance civile, Bernard-Henri Lévy filme la guerre en Ukraine et exhorte l’Europe à agir. Une immersion poignante qui résonne comme un appel à l’aide, au nom de la démocratie.
Quand le Président ouvre sa table à la fine fleur des intellectuels français, « L'Express » en fait un récit savoureux.
Le philosophe s'oppose aux réalistes ou aux souverainistes qui plaident pour une solution négociée en Ukraine. « Poutine ne sait rien faire de mieux que la guerre », prévient-il.
À Tel Aviv cette semaine, Bernard-Henri Lévy a affirmé que le plus grand allié de Poutine était la lassitude du monde, tout en appelant à la vigilance contre la Russie.
Avant de présenter son film « Pourquoi l'Ukraine » au Musée de l'Art de Tel Aviv en Israël, BHL a rappelé, au micro d'I24News, la dimension mondiale de la guerre en Ukraine.
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