« Le Diable en tête » n’est pas un somptueux accident dans l’itinéraire et l’œuvre de BHL. Au contraire, c’est une nécessité, un complément.
Oui, le diable existe : BHL l’a raconté... C’est un vieux pays au drapeau tricolore, chargé d’histoire, et qui voue un culte coupable à ses héros... Cette haine de la France, Bernard-Henri Lévy la poursuit avec une belle persévérance dans « Le Diable en tête », son premier roman.
Avec « Le Diable en tête », BHL signe un beau livre, un premier roman brillant et foisonnant, un roman miroir de notre époque.
Le « must » de la rentrée : le premier roman de BHL, « Le Diable en tête ». Un coup d’essai et un coup de maître.
« Le Diable en tête » est le premier roman de Bernard-Henri Lévy, et c’est époustouflant de maîtrise, de technique, d’intuitions littéraires.
Un « nouveau philosophe » passe au roman. Une fascinante fresque qui brasse quarante années de tumultes et où le diable gagne sur tous les tableaux.
Et si BHL, le maître médiatique de la Nouvelle philosophie, était tout simplement un romancier des plus traditionnels ?
À 36 ans, Bernard-Henri Lévy, chef de file des « nouveaux philosophes », publie son premier roman. Jacques Chessex a lu « Le Diable en tête » comme on regarde le film de notre époque.
En menant la première enquête sur la mort de Daniel Pearl, BHL affronte la question de l’islamisme et rend hommage au travail des journalistes.
BHL, enquêteur à haut risque, dispose aussi d’un œil et d’une plume d’écrivain, comme en témoigne son livre sur la mort de Daniel Pearl.
Réseaux sociaux officiels