Le philosophe publie la somme de ses œuvres, textes, conférences et entretiens. L'occasion de vérifier que, s'il s'aime beaucoup, il est un homme de conviction.
Depuis trente ans, le philosophe défend le devoir d’ingérence. La chute de Kadhafi est le couronnement de ce combat.
En ouverture du colloque « Le visage, la rencontre de l'autre » organisé par le CRIF, le CRAN et le Collège des Bernardins, BHL interroge la querelle fraternelle, le différend, entre le judaïsme et les Églises chrétiennes et, singulièrement, le catholicisme.
Le monologue puissant, profond, éclairé du philosophe a ému Bruxelles. Cette fois le BHL est acteur, lecteur, comédien, pour défendre l'Europe.
En quoi la campagne philosophique de BHL, « Looking for Europe », est un performance ? Comment-a-t-il, à travers cette pièce, opéré une mutation du genre théâtral ?
Le cinéaste serbe Zoran Tasic évoque les liens entretenus par BHL avec la Serbie depuis la guerre en Bosnie, et avec le peuple serbe, qu’il n’a jamais confondu avec le régime fasciste de Milosevic.
Ferreira Matos, journaliste angolais basé à Luanda, évoque le lien qui unit Bernard-Henri Lévy et l’Angola. Un lien ancien ravivé en 2001 par un long reportage sur les guerres oubliées qui évoque le sort des chercheurs diamants.
BHL dialogue avec Salman Rushdie à Londres en 1995. Il découvre un auteur animé par le même type de préoccupations que d’autres écrivains — le style, l’écriture, les jeux de l'œuvre et de la gloire, les médias, le spectacle, l’authenticité et le mensonge, la figure de l'intellectuel joyeux.
Gabi Gleichmann revient sur ce qu’implique une fatwa pour celui qui en est la victime et, à travers le cas précis de Salman Rushdie dont il fut un soutien, et raconte le combat de Bernard-Henri Lévy contre cette barbarie fascislamiste.
Quand le Président ouvre sa table à la fine fleur des intellectuels français, « L'Express » en fait un récit savoureux.
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