Bernard-Henri Lévy a été reçu au Vatican, pour préparer le 50e anniversaire de l’encyclique « Nostra Aetate ». Le pape François lui a fait forte impression.
Le 17 août 1971 le jeune BHL donnait son premier texte à « Combat », le journal de Camus alors dirigé par Philippe Tesson, et s’engageait pour les révolutionnaires de l’Irlande du Nord.
Une interview iconoclaste de Bernard-Henri Lévy. L’intellectuel « vedette » de gauche rompt avec le pouvoir en affirmant : la folie du PS est de vouloir suivre un PC en perdition.
Voyage de Sarkozy : Haïti méritait mieux. Le retour, en politique, du discours animalier. Le bon dos du « parler cru » à gauche contre la noblesse des mots.
Drôle, bourru, éloquent, le célèbre avocat pénaliste avait fait, à l’instar de son confrère Robert Badinter, de la lutte contre la peine de mort son cheval de bataille.
Et si le dernier essai, « Ce Virus qui rend fou », de notre « nouveau philosophe » préféré était le pamphlet le plus punk de l’après-confinement ?
Comme Hegel ou Chateaubriand pour le christianisme, le philosophe français a pour ambition d’éclairer « L’esprit du judaïsme ». Une religion du Livre qui ne cesse de remettre en cause le Livre.
Dans un documentaire, BHL revient sur son engagement auprès de ce pays que la Russie prétend « dénazifier ». Et qu’il arpente depuis 2014.
Penseur français éminent, Bernard-Henri Lévy nous dit que la Grande-Bretagne est le cerveau et le cœur battant de l’Europe, que la quitter serait une catastrophe pour tous. Il a écrit une pièce de théâtre pour nous convaincre d’arrêter. Par Bryan Appleyard, le 20 mai 2018, pour le « Times ».
A Prague, Bernard-Henri Levy a joué sa pièce « Looking for Europe », qu’il a écrite et interprète seul en scène, dans le cadre d’une tournée de deux mois et demi à travers une vingtaine de capitales. Une création « de combat », dit-il, qui lui permet aussi d’être comédien de sa propre histoire.
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