La véritable urgence est d’expliquer à tous que l’antisémitisme n’est pas le problème des juifs mais de la France.
Après la visite de BHL au cinéaste Roman Polanski, et les commentaires de la presse qui suivirent, le philosophe procède à une mise au point.
Va-t-on confier les rênes de l’agence culturelle mondiale à Farouk Hosni qui, lorsqu’il entend le mot culture, sort ses ciseaux ou son briquet ?
Michael Jackson n’est pas mort d’une overdose de médicaments – mais d’avoir voulu, non seulement inventer, mais s’inoculer un vaccin contre la vie.
C’est dans la société civile qu’est le cœur battant d’Israël, c’est elle qu’il faut encourager face à la pire des politiques qu’ait connues le pays.
Les négationnistes, d’habitude, sont des hurluberlus. Là, ils s’adossent à un pays – la Turquie. Il s’agit d’un négationnisme, non de secte, mais d’État.
De l’agression russe sur la Géorgie, il est d’ores et déjà possible de tirer les leçons et conclusions suivantes...
Quatre raisons, au moins, de boycotter les JO de Pékin. Le philosophe a vu « Fitna ». Un Don Juan sentimental à Montpellier ?
« Slava Ukraini » (« Vive l’Ukraine »), c’est le titre du deuxième film de combat que le philosophe consacre au conflit qui depuis le 24 février 2022 bouleverse les relations internationales. BHL nous raconte son année de tournage sur le front. Et dresse son analyse géopolitique du conflit.
Pour le philosophe, réalisateur de « Slava Ukraini », ce sont les Ukrainiens qui mènent une vraie « guerre patriotique », et l’emporteront face à la Russie.
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