Abolir la loi Gayssot ? Messier et Lescure contre le provincialisme français. Sollers et les bien-pensants. Le « De Gaulle » de Zagdanski. Pierre Brossolette, ce héros.
Le peuple serbe est malade de son propre imaginaire, il faudrait pouvoir le délivrer de lui-même autant que de ses dirigeants.
Levinas et l’existence de Dieu. Le terrorisme au quotidien. Toulon et la démocratie. Qu’est-ce qu’un son ? Un appel de Jacques Julliard. Zéro est revenu. Godard for ever.
Félix Le Roy a retrouvé, dans les archives de BHL, dans son œuvre, quelques uns des textes qu’il a consacrés à son ami-écrivain Philippe Sollers.
Le trajet de Bernard-Henri Lévy, qui va de « La Barbarie à visage humain » au « Testament de Dieu », est logique. Il est écrit dans le plus beau français qui soit.
Il y a quinze ans, un deuxième tour avec Le Pen c’était un séisme : aujourd’hui, c’est une évidence. Comment on a pu en arriver là ?
Bernard-Henri Lévy considère Moravia comme « l’exemple type du grand écrivain sous-évalué », au parcours politique juste.
Le texte de fond consacré par Bernard-Henri Lévy, dans « La Règle du jeu », en juin 1990, au Front National et à son idéologie. Plus d’un quart de siècle après, ce texte n’a pas pris une ride.
Au Musée du Prado à Madrid, Bernard-Henri Lévy rend hommage à Jorge Semprún. L’occasion pour le philosophe de dire son admiration pour l’écrivain et l’homme d’action qui est « l’esprit européen incarné ».
Le 30 octobre 2007, à l’Institut culturel italien de Paris, Bernard-Henri Lévy, donne une conférence sur Alberto Moravia. L’occasion de revenir sur le parcours de ce « grand vivant », auteur sous-évalué, et modèle du grand intellectuel européen.
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