Avant l’anniversaire du 11 septembre, un numéro de la revue « Lignes » (Surya, Brossat, Badiou, Nancy, Rancière et Cie).
Sur l’élection américaine dite de « mid term » qui doit renouveler le Congrès, la moitié du Sénat et la totalité des gouverneurs des Etats.
Le philosophe recommande la lecture de « Deux Étés 44 », de François Heilbronn, et de « La Compagnie des voyants », de Mathieu Laine.
La France, vue d’Amérique, en a fait vraiment beaucoup dans l’hommage à Yasser Arafat. Était-il un combattant ou un résistant ?
Pour le philosophe, réalisateur de « Slava Ukraini », ce sont les Ukrainiens qui mènent une vraie « guerre patriotique », et l’emporteront face à la Russie.
Une interview iconoclaste de Bernard-Henri Lévy. L’intellectuel « vedette » de gauche rompt avec le pouvoir en affirmant : la folie du PS est de vouloir suivre un PC en perdition.
Pour que l’Ukraine gagne la guerre, pour l’Amérique des libertés, pour les Ouïghours, pour les femmes afghanes et iraniennes, pour les Kurdes…
Pour Bernard-Henri Lévy, « Proclamation sur la vraie crise mondiale » de François Meyronnis est un texte essentiel pour qui veut saisir les mécanismes du « capitalisme intégré ».
Dans un documentaire, BHL revient sur son engagement auprès de ce pays que la Russie prétend « dénazifier ». Et qu’il arpente depuis 2014.
Dans un texte écrit en 2014, Armin Arefi revient sur les différents combats qui ont mobilisé Bernard-Henri Lévy en 2009 et 2010 pour défendre la démocratie iranienne. Le philosophe a en effet dénoncé la prise de pouvoir d’Ahmadinejad, avant de s’investir, avec La Règle du Jeu, pour sauver le cinéaste Jafar Panahi, puis Sakineh, victimes du régime islamiste de Téhéran.
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