Résultats pour « Parti Socialiste »

L’honneur et le pardon

Bernard-Henri Lévy, Le Matin de Paris, 02 novembre 1982

Sur l’affaire du pardon aux officiers félons de la guerre d’Algérie : fallait-il réviser le procès de MM. Challe, Salan, Zeller et Jouhaud ?

Splendeurs et misères d’un courtisan

Bernard-Henri Lévy, Le Matin de Paris, 12 octobre 1982

Sur l’anti-intellectualisme bête, méchant et péremptoire de Régis Debray, récemment nommé conseiller culturel à l’Élysée.

Revue de presse

Bernard-Henri Lévy, Le Matin de Paris, 15 septembre 1982

Chevènement et la France profonde. Le gazoduc soviétique. Il faut nommer Israël ! Le malentendu Aragon et l’affaire Jünger.

Gare à la morale…

Bernard-Henri Lévy, Le Matin de Paris, 08 septembre 1982

Des sondages. Deux lignes au P.C. ? Encore l’affaire Tanase. Politique et éthique de François Mitterrand. L’interdiction d’« Hara-Kiri ».

Mais que veut donc M. Cheysson ?

Bernard-Henri Lévy, Le Matin de Paris, 27 juillet 1982

Quand Claude Cheysson exposait à des journalistes étrangers quelques-uns des principes qui guident depuis un an son action diplomatique.

Une semaine d’abandons

Bernard-Henri Lévy, Le Matin de Paris, 20 juillet 1982

Sur la libération des ondes. Daniel Ortega à la tribune du 14 juillet. Il ne faut pas faire l’impasse sur la tragédie afghane.

En marge de la « bataille de Paris »

Bernard-Henri Lévy, Le Matin de Paris, 13 juillet 1982

Le gouvernement envisage de découper Paris en 20 communes. Le Maire de Paris, Jacques Chirac, ne l’entend pas de cette oreille.

Sauver le P.C. ?

Bernard-Henri Lévy, Le Matin de Paris, 07 juillet 1982

Un ministre téléphone à un membre du P.C.F. Pour le philosophe le plus étonnant, dans cette aventure, c’est d’abord qu’on s’en étonne.

Le charnier de Khenchela

Bernard-Henri Lévy, Le Matin de Paris, 08 juin 1982

« Libération » est-il allé trop vite en besogne en attribuant à l’armée française la responsabilité du charnier de Khenchela, en Algérie ?

La vraie gauche

Bernard-Henri Lévy, Le Matin de Paris, 11 mai 1982

Un an de socialisme. La « droite » relève la tête. La « gauche » baisse la sienne. En face d’elles, « la ligne Badinter ».