« C’est la rentrée où... » Le philosophe interroge les possibilités, certitudes et incertitudes, des mois qui suivront la rentrée 2003.
En ce début de campagne, la question du « choix », du « ralliement » des intellectuels, prend une tournure pour le moins inattendue.
Le philosophe recommande la lecture de « Deux Étés 44 », de François Heilbronn, et de « La Compagnie des voyants », de Mathieu Laine.
Le grand rabbin Sitruk passe à côté du dialogue judéo-catholique. Quelle aide humanitaire en Palestine ? Le Pen monte dans les sondages.
Dire que la crise des banlieues ira au bout de sa mécanique signifie-t-il qu’il faille se croiser les bras et attendre ? Non, bien entendu.
La presse américaine prend Benoît XVI au sérieux. Le progrès, en France, du non au projet de traité européen. L’Arménie, la Turquie, et l’Europe.
Miller et Baudelaire. La maladresse de M. Cukierman. L’esprit de Mitterrand ne nous quitte décidément pas. Condoleezza Rice au réveil. Le nom des otages.
Une Lolita avant « Lolita » ? La biographie de Giraudoux a eu lieu. Leiris et Bataille ; Hertzog en plein duel ; Ray Bradbury, le gentleman.
La gifle polonaise. La voix de Hollande. Mémoire de Cocteau. Ray Charles et la leçon de Chateaubriand. Les ofnis en littérature.
Un nouveau mythe voit le jour : celui de « la-chute-du-Mur-que-personne-n’avait-prévue », c’est-à-dire d’une Histoire réécrite, trafiquée, révisée.
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