Le 17 août 1971 le jeune BHL donnait son premier texte à « Combat », le journal de Camus alors dirigé par Philippe Tesson, et s’engageait pour les révolutionnaires de l’Irlande du Nord.
Dans le Haut-Karabakh, l’Azerbaïdjan, soutenu par Erdogan, opère contre l’enclave arménienne un blocus qui s’apparente à un nettoyage ethnique.
Le philosophe se souvient des grands moments, du Maïdan à la rencontre avec Porochenko, qui lui ont fait embrasser la cause de ce pays.
Shalit n’est pas un prisonnier de guerre mais un otage. Son sort est symétrique de celui d’un kidnappé contre rançon, et il faut le défendre.
Cette guerre est-elle juste ? Pourquoi la Libye ? Que savez-vous de vos insurgés et d’où tenez-vous que cette insurrection mènera à une Libye nouvelle ?
Chute de Ben Ali : il n’y a pas un État qui fasse le poids face à un peuple qui décide que c’en est assez de la tyrannie.
Le désir que l’on sent à l’œuvre dans cette phase de l’interminable et nauséeux feuilleton Strauss-Kahn est un désir de meurtre symbolique.
Le premier débat Obama-Romney n’a pas « plié » le scrutin aux États-Unis. BHL explore les mécanismes de cette élection.
Les dictateurs Abadi, Erdogan, el-Assad et Khamenei, menacent les Kurdes de représailles pour essayer de faire taire leur volonté d’indépendance.
La généalogie de l’islamo-gauchisme, le courage et la détermination de Manuel Valls et un appel à la mobilisation générale contre l’islamisme radical.
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