Résultats pour « Goncourt »

Si on quittait le degré zéro de la pensée ?

Bernard-Henri Lévy (entretien), La Vie, 03 novembre 1988

Depuis les années 70, les intellectuels sont-ils morts ? Non, non, dit Bernard-Henri Lévy. Ce n’est qu’une éclipse.

Bernard-Henri Lévy sur les pas de Baudelaire

Jean-Claude Lamy, France-Soir, 13 septembre 1988

À chacun son grand homme. Bernard-Henri Lévy et Charles Baudelaire : une certaine ressemblance intellectuelle.

Deux diables d’homme

Virginie de Borchgrave, Le Magazine de l’Événement, 01 décembre 1988

Bernard-Henri Lévy est mieux qu’une star et son livre « Les Derniers jours de Charles de Baudelaire » est à lire de toute urgence.

Lévy, Baudelaire en tête

Pierre Assouline, Lire, 01 septembre 1988

Étayée par une solide recherche historique, la reconstitution de l’agonie du poète par BHL se veut surtout une réflexion sur le mystère de la création.

Parade pour un poète moribond

Annie Coppermann, Les Échos, 01 octobre 1988

Cette parade pour un poète moribond, derrière les « correspondances » personnelles, ne manque pas d'un sombre éclat.

BHL-Chandernagor : le duel

Jérôme Garcin, La Provence, 11 septembre 1988

Jérôme Garcin a choisi deux livres : « La Sans Pareille » de Françoise Chandernagor, et « Les Derniers jours de Charles Baudelaire » de BHL.

Bernard-Henri Lévy raconte la mort du grand poète

Dominique Mobailly, La Vie, 13 octobre 1988

Bernard-Henri Lévy, porté par son admiration pour Baudelaire, a réussi un beau livre qui signe son retour en littérature.

L’anti-révolution Baudelaire

Jean Basile, La Presse, 22 octobre 1988

Bernard-Henri Lévy passe de l’essai au roman. Après les barricades, après Mao, l’anti-révolution de Baudelaire.

Les derniers tours de Bernard-Henri Lévy

Michel Caffier, L’Est républicain, 29 septembre 1988

BHL a réussi superbement son roman. À ces brillants écrits de tête il ajoute une œuvre de cœur, pleine de talent, riche de mille promesses.

« Citizen Lévy » ?

Véronique Maurus, Le Monde, 05 mars 2010

« BHL », comme une marque, appâte néanmoins lecteurs et auditeurs. La preuve ? Précisément l’ampleur des réactions qu’il suscite.