« C’est une rentrée où... » BHL fait le point sur les événements littéraires, artistiques, politiques de la rentrée 2002.
Que nous montre Tahar Ben Jelloun dans « L’islam expliqué aux enfants », livre précieux, dont la lecture est primordiale aujourd’hui ?
Les lettres de Jacques-Alain Miller. Claudel le Bénisseur. Sollers, Pleynet et Mozart. Un mot de Faulkner : « le détail qui sonne faux ». Derrida publie trop. Le questionnaire de Proust appartient, en fait, à Mallarmé. Hemingway et Dieu.
« C’est la rentrée où... » Le philosophe interroge les possibilités, certitudes et incertitudes, des mois qui suivront la rentrée 2003.
De quoi l’année à venir sera-t-elle le nom, le symptôme, l’occasion ? Le philosophe formule ses vœux pour un avenir proche.
Debray et l’obscénité démocratique. L’éditeur de Jonathan Littell va-t-il se faire hara-kiri ? Laissez Rachida Dati travailler.
Évocation pêle-mêle de Mère Teresa, DSK, Ségolène Royal, Sollers et Nothomb, Fellini, Ingrid Betancourt, le Darfour et la Bande de Gaza...
Avec « C’est encore moi qui vous écris » (Stock) Marie Billetdoux invente un nouveau genre, une traversée des miroirs de la vie, une « egodyssée ».
Bernard-Henri Lévy recommande de lire d’urgence « Littérature et politique », le dernier livre de Philippe Sollers aux éditions Flammarion.
BHL propose, en faisant cohabiter, coexister, ses combats et son intérêt pour l’art, une définition de « l’intellectuel engagé ».
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