Le Goncourt, demain, se joue dans un mouchoir. Poirot-Delpech ? Marguerite Duras ? ou Bernard-Henri Lévy ?
Avec « Le Diable en tête », BHL signe un beau livre, un premier roman brillant et foisonnant, un roman miroir de notre époque.
Bernard-Henri Lévy a repris ses carnets de bourlingueur et de... redresseur de torts. Sa « romanquête » fait un tabac. L’assassin du journaliste Daniel Pearl sert de cadre à une mise en garde terrifiante contre les dangers que l’islamisme pakistanais ferait courir au monde.
L’écrivain philosophe, qui signe son troisième film sur l’Ukraine. Selon lui la Russie coagule une dangereuse alliance des impérialismes.
Alors que le philosophe rapporte d’Ukraine un nouveau documentaire, il rappelle pourquoi les démocraties doivent lutter contre la coalition des nihilistes : Russie, Iran, Turquie, Chine, Hamas…
Ne soyons pas dupes de l’indignation sélective de ceux qui participent à des manifestations où se déploient les slogans du Hamas terroriste.
Le livre de BHL n’est pas seulement une enquête de détective : c’est un réquisitoire contre le Pakistan, soupçonné de protéger les islamistes.
Depuis 1977, date de la parution de « La Barbarie à visage humain », quand BHL publie, il reçoit des giclées de venin. Catherine Clément le sait mieux que personne, car en I977, elle fut la première à le canarder dans « Le Matin de Paris », tant il l'exaspérait.
Bernard-Henri Lévy publie deux livres où passent Obama, Gary, Camus, Lévinas et Jean-Paul II, mais qui dessinent aussi un portrait de l’écrivain par lui-même. Rencontre avec un personnage protéiforme.
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
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