Jorge Semprun a lu « Éloge des intellectuels » de Bernard-Henri Lévy, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut. Le débat est ouvert.
BHL signe un texte de résistance courageux qui sonne juste et vrai, fidèle envers le peuple juif, son histoire et ses valeurs.
BHL note l’exagération de ceux qui estiment que l’avenir de la culture, le sort de l’humanitaire et la gloire de nos âmes se jouent à la télé.
Après les Cambodgiens, les Afghans et les Polonais, l’écrivain Bernard-Henri Lévy prend la défense des intellectuels. Son nouveau livre est un plaidoyer contre les bateleurs qui les ont peu à peu remplacés dans tous les médias.
Bernard-Henri Lévy rappelle, dans son « Éloge », qu’un intellectuel ne saurait être confondu avec un animateur de restau du cœur.
Cette solitude des Juifs, cette solitude d'Israël dont BHL fait état dans son nouveau livre, c'est notre solitude à tous.
« Éloge des intellectuels », le dernier essai de BHL, vient de paraître. Notre collaborateur Guy Konopnicki, dont le prochain livre est publié par BHL lui-même, nous donne ici, ès qualités, son point de vue.
Bernard Frank a lu « Éloge des intellectuels ». Selon lui, en attaquant Sartre, c’est Baudelaire que BHL veut venger.
À quoi sert un intellectuel ? Réponse : à être le poil à gratter de la société, il doit compliquer les problèmes. C’est ce qu’explique Bernard-Henri Lévy, avec beaucoup de brio.
Le rôle des clercs dans la cité ? Lévy, d’une écriture merveilleusement maîtrisée, fournit quelques réponses, proposes des idées.
Réseaux sociaux officiels