Le trajet de Bernard-Henri Lévy, qui va de « La Barbarie à visage humain » au « Testament de Dieu », est logique. Il est écrit dans le plus beau français qui soit.
Bernard-Henri Lévy, jeune philosophe, dénonce « la Barbarie à visage humain », et tire sur toutes les gauches à boulets noirs. Philippe Sollers applaudit.
José Bové est en prison. BHL lui adresse une lettre, malgré tout ce qui sépare les deux hommes, et souhaite sa libération.
Romain Goupil fait son cinéma. Le Pen en Himmler Malapartien. Brecht et le Loft. Non, il ne fallait pas interdire le livre d’Oriana Fallaci. Oui, il faut toujours défendre les forts contre les faibles. David Khayat, romancier. Les deux Islams. Les derniers prophètes. Le lepénisme vu par Leibniz.
Rien n’est plus étranger au philosophe que la métaphysique à l’œuvre dans le livre de Dominique de Villepin, « Le cri de la gargouille ».
Il reste quatre ans pour que la droite de probité et la gauche de gouvernement se ressaisissent et que le peuple retrouve l’esprit des lois.
La star selon Baudelaire. Benny Lévy, un Augustin juif ? Nietzsche, Hegel et la mort de Dieu. La corruption selon Mandeville. Le retour du Céline de « L’école des cadavres ». Stendhal et le New York Times. Dieudonné, antisémite. Silence, les Tchétchènes ! Dix ans de « Bloc-notes ».
Les altermondialistes hébergent, qu’on le veuille ou non, un texte nauséabond de Tariq Ramadan sans l’avoir en aucune façon désavoué.
Le Castro de Raffy. Un tombeau pour Massoud. Les éternels méfaits du progressisme. Exercice de futurologie appliquée. Négocier avec le Hamas ? Les enragés de François Armanet.
Le philosophe rend hommage à Muslim Hayat, compagnon d’armes du commandant Massoud, qu’il a rencontré de multiples fois en Afghanistan.
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