Pour son feuilleton, Bertrand Poirot-Delpech a lu « Éloge des intellectuels » de BHL, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut.
Bernard-Henri Lévy fait leur éloge et, dans un essai sur Aron et Sartre, Étienne Barilier se demande s’ils sont en train de disparaître.
Jorge Semprun a lu « Éloge des intellectuels » de Bernard-Henri Lévy, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut. Le débat est ouvert.
Après les Cambodgiens, les Afghans et les Polonais, l’écrivain Bernard-Henri Lévy prend la défense des intellectuels. Son nouveau livre est un plaidoyer contre les bateleurs qui les ont peu à peu remplacés dans tous les médias.
Bernard-Henri Lévy se demande où sont passés les vrais intellectuels. Et attaque les idées reçues de notre temps.
On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
Alors que son dernier essai « Solitude d’Israël » vient de sortir, le philosophe participera ce mardi 2 avril à Nice à une soirée de solidarité avec l’État hébreu. Qu’il soutient bec et ongles…
Alors que des coalitions internationales s’étaient formées pour détruire Al-Qaeda puis Daesh, personne, regrette le philosophe, ne vient aider Israël à mener la guerre contre le Hamas.
Cette solitude des Juifs, cette solitude d'Israël dont BHL fait état dans son nouveau livre, c'est notre solitude à tous.
Dans son dernier essai, le philosophe célèbre l’esprit du sionisme et nous livre sa pensée sur le conflit et ses répercussions en France.
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