Résultats pour « Idéologie française »

Curieux éloge

Luc Baresta, France Catholique, 27 mars 1987

On s’est moqué du « sanglot long des intellectuels ». Mais ils ne font pas que se lamenter... BHL publie un « Éloge des intellectuels ».

La mission de BHL

Maurice Szafran, L’Arche, 01 mai 1987

Le rôle des clercs dans la cité ? Lévy, d’une écriture merveilleusement maîtrisée, fournit quelques réponses, proposes des idées.

Un entretien avec Bernard-Henri Lévy

Bernard-Henri Lévy (entretien), Information Juive, 01 mai 1987

La pensée a-t-elle besoin d’être sauvée ? À quoi sert un intellectuel ? Que signifie « l’Universel » ? La politique est-elle un piège pour l’écrivain ?

« Enfin la gauche liquide le socialisme »

Bernard-Henri Lévy (entretien), Le Figaro, 21 septembre 1984

Bernard-Henri Lévy est-il de gauche ? À quoi aspire ce nouveau romancier ? Quel rapport entretient-il avec son « œuvre » ?

Un « nouveau philosophe » s’interroge sur le destin d’un fils de « collabo »

Jean-Claude Lamy, France-Soir, 02 octobre 1984

Avec « Le Diable en tête », Bernard-Henri Lévy aborde pour la première fois le roman, en prenant des risques.

BHL, archange, comédien et martyr

Jean-Louis Ezine, L’Express, 29 juin 1984

Ses façons d’émeutier mâtinées de dandysme rendent BHL plus conforme à la chevalerie lettrée du XIXe siècle qu’au froid désenchantement du nôtre.

« Le Diable en tête » : on en parle

Didier Williame, La Vie, 04 octobre 1984

« Le Diable en tête » est le premier roman de BHL, inventeur des « Nouveaux philosophes » et auteur à succès de cinq essais.

À la recherche de Benjamin C…

Lucien Guissard, La Croix, 29 septembre 1984

Le romancier Bernard-Henri Lévy ne mérite ni l’excès d’honneur des uns ni celui d’indignité des autres. Au total, un premier roman de type classique non dénué de qualités.

Bernard-Henri Lévy au coeur du romantisme politique

Bernard-Henri Lévy (entretien), Le Quotidien de Paris, 20 septembre 1984

Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.

Désillusion et compassion

Paul Guilbert, Le Quotidien de Paris, 20 septembre 1984

« Le Diable en tête » nous restera comme le roman de l’éducation intellectuelle et sentimentale, des illusions perdues, d’une génération.