« Le Diable en tête », premier roman de BHL, n’est que la continuation par d’autres moyens de ses livres précédents.
C’est un bout de siècle que BHL, en très honnête romancier, campe bien, et de façon très vivante, avec son « Diable en tête ».
Archange des nouveaux philosophes et militant des droits de l’homme, BHL a succombé, lui aussi, à la tentation romanesque. François Nourissier découvre un jeune auteur...
Le Goncourt, demain, se joue dans un mouchoir. Poirot-Delpech ? Marguerite Duras ? ou Bernard-Henri Lévy ?
Réflexion sur l’état du monde à l’âge des guerres d’Ukraine et de Gaza. Raphaëlle Milone évoque sa lecture de « L’Empire et les cinq rois » de BHL.
Quels souvenirs laissera de lui le militant BHL ? Un certain goût du risque. Un touche-à-tout qui a inventé une forme du voyage intelligent.
BHL signe un feuilleton haletant en cinq épisodes avec du suspense, des grands sentiments, de la politique et un drame familial.
BHL signe le roman de la dissonance, du croisement serré des vérités contradictoires, du malentendu, de l’équivoque.
Que n’a-t-on dit et écrit de ce jeune éditeur, essayiste de talent et, depuis peu, romancier ? Avec son premier roman cet ex-normalien a beaucoup fait parler de lui.
BHL est entré en littérature avec fougue, signant une fresque fascinante, émouvante, dérangeante aussi.
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