Après le massacre chimique de Damas, la vraie question est celle du lien entre la Russie de Poutine et la Syrie de Bachar.
Nous avons suivi le philosophe à Odessa, en Ukraine, où il donnait une lecture de sa nouvelle pièce, « Hôtel Europe ». Un plaidoyer très engagé contre les périls qui guettent notre continent.
Le philosophe revient d’Ukraine. Il y a vu la défaite de Poutine. L’on peut s’attendre, prévient-il, à ce que le dictateur pratique la politique de la terre brûlée.
On disait le 46e président des États-Unis à bout de souffle. Il a pourtant retrouvé les accents d’un Roosevelt pour prendre la tête du monde libre.
D’est au sud, Bernard-Henri Lévy a approché les nouvelles lignes de front dessinées par les succès de la contre-offensive. Il y a rencontré des hommes déterminés à continuer leur progression quelles que soient les frappes – missiles ou drones – d’une armée russe aux abois.
À l’occasion des 50 ans du « Point », le philosophe, qui tient sa chronique depuis 1993, se souvient de la fondation de l’hebdomadaire en 1972.
Bernard-Henri Lévy souhaite que le président russe soit jugé devant un tribunal pénal international. Le philosophe, de retour de la zone de conflit, estime qu’Emmanuel Macron a une position qui « a toujours été très claire » en soutenant « la victoire de l'Ukraine ».
Depuis une semaine, Bernard Henri Lévy est sur le terrain, suivant de ville en ville la contre-offensive des forces ukrainiennes contre l’occupant Russe.
Il faut lire « Les quinze jours qui ont fait basculer Kaboul », de David Martinon. Le récit poignant d’un diplomate face à la guerre.
Le 24 août 2022, jour de la fête nationale ukrainienne, alors que le pays en guerre résiste à la barbarie de la Russie de Poutine, Bernard-Henri Lévy s’est vu décoré par le ministère de la Défense de Kiev, à la demande du régiment A7363 situé dans la région de Zaporijia.
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