« Vous ne m’avez sûrement pas attendu pour vous jeter sur “Le Diable en tête”. Vous avez bien fait. C’est excellent. Le siècle est là. »
Avec « Le Diable en tête », Bernard-Henri Lévy aborde pour la première fois le roman, en prenant des risques.
Le premier roman de BHL est une œuvre mature, à la fois légère et dense, et dont les personnages traversent des périodes de l’histoire.
Le Goncourt, demain, se joue dans un mouchoir. Poirot-Delpech ? Marguerite Duras ? ou Bernard-Henri Lévy ?
Bernard-Henri Lévy est au centre de tous les grands débats contemporains. Il vient de publier « Récidives » chez Grasset.
Réflexion sur l’état du monde à l’âge des guerres d’Ukraine et de Gaza. Raphaëlle Milone évoque sa lecture de « L’Empire et les cinq rois » de BHL.
Oui, le diable existe : BHL l’a raconté... C’est un vieux pays au drapeau tricolore, chargé d’histoire, et qui voue un culte coupable à ses héros... Cette haine de la France, Bernard-Henri Lévy la poursuit avec une belle persévérance dans « Le Diable en tête », son premier roman.
À 36 ans, Bernard-Henri Lévy, chef de file des « nouveaux philosophes », publie son premier roman. Jacques Chessex a lu « Le Diable en tête » comme on regarde le film de notre époque.
En menant la première enquête sur la mort de Daniel Pearl, BHL affronte la question de l’islamisme et rend hommage au travail des journalistes.
Bernard-Henri Lévy a repris ses carnets de bourlingueur et de... redresseur de torts. Sa « romanquête » fait un tabac. L’assassin du journaliste Daniel Pearl sert de cadre à une mise en garde terrifiante contre les dangers que l’islamisme pakistanais ferait courir au monde.
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