Avec « Les Derniers jours de Charles Baudelaire », BHL signe un roman ambitieux et complexe. Une interrogation sur le destin littéraire.
« BHL », comme une marque, appâte néanmoins lecteurs et auditeurs. La preuve ? Précisément l’ampleur des réactions qu’il suscite.
Dans le cas de Bernard-Henri Lévy, désormais, les meilleurs journalistes peuvent se perdre dans des eaux boueuses.
Bernard-Henri Lévy conduit depuis toujours plusieurs destins en parallèle : le philosophe « guerrier », le cosmopolite, le politique, le littéraire...
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
À quelques heures des midterms, le philosophe a joué à New York une pièce qui revient sur toutes les questions géopolitiques et morales du moment.
Où il est question de Lautréamont, Nietzsche, Sartre, Heidegger, Joyce, Proust, Céline, Artaud, Kafka, Bataille, de la Chine, du fascisme...
Comment le travail de l’intellectuel n’exclut pas un goût pour la vie et la légèreté ? Que cache le « Je » de Bernard-Henri Lévy ?
On nous parle d’une identité française en péril, mais il y en a une, d’identité, qui est, elle, en vrai péril, c’est l’identité européenne.
Pourquoi il est impossible, même et surtout quand on est sartrien, d’avoir raison contre Camus ? BHL évoque Camus, un de ses maîtres.
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