BHL, romancier, ne se lasse pas d’inventer dans son roman sur Baudelaire, intégrant les faits réels à sa construction imaginaire.
Même haine du dandysme, même vision critique du monde, Bernard-Henri Lévy s’est reconnu en Baudelaire. Il lui a consacré un roman.
Bernard-Henri Lévy pour « Les Derniers jours de Charles Baudelaire » s’entretient avec Maurice Szafran.
Dans son dernier roman, Bernard-Henri Lévy accomplit à ses côtés les derniers pas de Charles Baudelaire.
Une méditation sur la vie et la mort. Une recherche de l’origine des folies et des phobies, dont le terrain d’élection est l’âme d’un créateur. « Y a-t-il un poète dans notre fragile arche de Noé où les humains se réfugient ? », se demande l’écrivain.
Étayée par une solide recherche historique, la reconstitution de l’agonie du poète par BHL se veut surtout une réflexion sur le mystère de la création.
Bernard-Henri Lévy passe de l’essai au roman. Après les barricades, après Mao, l’anti-révolution de Baudelaire.
Patrick Besson et Bernard-Henri Lévy se passionnent pour deux écrivains d’hier : Alexandre Pouchkine, Charles Baudelaire.
C’est tout un parfum de mort que BHL, ce diable de romancier, restitue avec force talent et minutie dans son roman sur Baudelaire.
Avec « Les Derniers jours de Charles Baudelaire », BHL signe un roman ambitieux et complexe. Une interrogation sur le destin littéraire.
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