Quatre mois après le cessez-le-feu au Haut-Karabakh, des personnalités françaises réclament la libération des Arméniens détenus en Azerbaïdjan.
Jamais l’engagement des intellectuels français n’a été aussi passionné qu’entre les deux guerres. Mais est-il mort aujourd’hui ? La guerre du Golfe prouve que non.
La pensée a-t-elle sa place dans le théâtre médiatique ? Dans « Éloge des intellectuels », Bernard-Henri Lévy dit que oui. Mais il oublie que les médias ont aussi une histoire. La télévision change sous nos yeux. La sphère enchantée de ses stars a sa logique qui mérite peut-être d’être « pensée ».
Bernard Frank a lu « Éloge des intellectuels ». Selon lui, en attaquant Sartre, c’est Baudelaire que BHL veut venger.
Raymond Aron a lu « L’Idéologie française », et attaque le livre de BHL qui fait le procès du pétainisme et de la Révolution nationale.
Le premier roman de BHL est une œuvre mature, à la fois légère et dense, et dont les personnages traversent des périodes de l’histoire.
Le Goncourt, demain, se joue dans un mouchoir. Poirot-Delpech ? Marguerite Duras ? ou Bernard-Henri Lévy ?
Bernard-Henri Lévy a repris ses carnets de bourlingueur et de... redresseur de torts. Sa « romanquête » fait un tabac. L’assassin du journaliste Daniel Pearl sert de cadre à une mise en garde terrifiante contre les dangers que l’islamisme pakistanais ferait courir au monde.
L’enquête sur la mort de Daniel Pearl consiste à suivre BHL dans ses multiples déplacements. On s’y perd. Mais c’est agréable.
Ce style de roman, la biographie romancée, d’où viennent-ils ? Dans quelle tradition BHL se situe, avec son ouvrage sur Baudelaire ?
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