Peut-on aimer l’auteur des « Mots » quand on l’a connu maoïste sans hauteur ? Bernard-Henri Lévy opte pour l’empoignade affectueuse.
Bernard-Henri Lévy va publier aux États-Unis, puis en France, un grand livre sur l’Amérique, sur les traces de Tocqueville : « American Vertigo ».
Bernard-Henri Lévy affirme son appartenance au judaïsme et redit sa confiance dans la France.
Le philosophe organise à la Fondation Maeght de Saint-Paul-de-Vence une exposition sur le thème de la vérité. Il raconte sa confrontation avec l’art.
François Samuelson écrit le roman vrai de la naissance de « Libération », des « Années Libé », et de la « pensée 68 ».
Cofondateur de l’Institut d’études lévinassiennes, Bernard-Henri Lévy évoque sa rencontre avec la pensée du philosophe.
Journaliste, certes, penseur aussi, philosophe souvent, écrivain toujours. Bernard-Henri Lévy est tout cela, comme en témoigne « Récidives ».
Bernard-Henri Lévy évoque la figure du directeur de l’Institut d’études lévinassiennes, son ami, Benny Lévy.
Triomphe de la loi du sang. L’appel de l’Odéon. Sollers, la littérature et la critique. Foucault, Athènes et Jérusalem. Juppé et Hurd vont en mission. PPDA, entre loups et bergerie. Après l’édit de Caracalla. Rushdie, Nasreen, Ménandre et Baudelaire.
Centenaire du cinéma. Mailer, Hemingway et Gary. Pourquoi notre silence sur la Tchétchénie ? Le mystère Aragon. Catherine Nay : des cœurs mis à nu. Un – mauvais – conseil de Maurice Barrés. Avec la Bible.
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