« Slava Ukraini », de Bernard-Henri Lévy, sortira en salles le 22 février. Christine Angot l’a vu en avant-première, et livre au « JDD » ses impressions.
Le philosophe rend hommage au « trublion » Philippe Tesson, qu’il rencontra dès 1969 et qui, le premier, lui donna une accréditation de presse.
Depuis huit ans, c’est le combat de sa vie : l’intellectuel engagé lui consacre un deuxième long-métrage, « Slava Ukraini », vive l’Ukraine.
Le philosophe plaide pour un grand accord entre médias « réduisant au strict inévitable l’évocation des figures du crime ».
On peut tirer quelques leçons de ce que l’on finira sans doute, très bientôt, par appeler la non-affaire Strauss-Kahn.
Compte rendu du livre de Philippe Sands « East West Street » (« Retour à Lemberg » en français, Albin Michel), publié en 2016.
N’en déplaise à ses nombreux adversaires, son film « Slava Ukraini » donne raison à Bernard-Henri Lévy. Décrié depuis ses premiers livres dans les années 70, BHL est toujours resté fidèle à lui-même, dans ses livres comme sur le terrain, où il est le seul à aller. Portrait du dernier des écrivains engagés.
Le retour de la guerre en Europe a vu le surgissement d’une empathie unanime à l’Ouest pour le peuple ukrainien et ses alliés. Mais cette solidarité inédite peut-elle durer ? À l’occasion de la sortie de « Slava Ukraini » de Bernard-Henri Lévy, enquête sur place...
Un texte fort cosigné avec Woody Allen, Umberto Eco, David Grossman, Amos Oz, Orhan Pamuk, Salman Rushdie et Wole Soyinka.
On attend maintenant les actes qui seront le corrélat de la déclaration courageuse de François Hollande et que nous attendions.
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