Les livres de BHL, Finkielkraut, Bloom, Henry, annoncent peut-être le printemps de notre culture. La critique d’Alain Besançon.
Face à face, l’auteur d’« Éloge des intellectuels », Bernard-Henri Lévy, et la chanteuse de « Toi, mon toit », Elli Medeiros.
Il est des livres de raison, de passion, de colère, de polémique… « Éloge des intellectuels » est un livre d’esquive, formidable, brillant, léger. Clair, intelligent, puisqu’il vous donne l’impression de l’être.
Le dernier livre de BHL est une biographie intellectuelle à demi rêvée de l’auteur lui-même, à mi-chemin de la confession et du manifeste.
Pour son feuilleton, Bertrand Poirot-Delpech a lu « Éloge des intellectuels » de BHL, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut.
Bernard-Henri Lévy fait leur éloge et, dans un essai sur Aron et Sartre, Étienne Barilier se demande s’ils sont en train de disparaître.
BHL donnera au Centre Rachi une conférence sur le thème : « Barbie, Bardèche, Vergès, Le Pen et quelques autres : le retour des fantômes. »
L’auteur de l’« Éloge des intellectuels » n’a pas participé samedi à l’émission de Michel Polac consacré à la culture. Il explique pourquoi et répond à ses détracteurs.
Jorge Semprun a lu « Éloge des intellectuels » de Bernard-Henri Lévy, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut. Le débat est ouvert.
BHL signe un texte de résistance courageux qui sonne juste et vrai, fidèle envers le peuple juif, son histoire et ses valeurs.
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