On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
Patrick Klugman a lu le nouveau livre de BHL, un magnifique ouvrage qui brise la conjuration qu’il énonce.
Le grand-rabbin de France et membre de l’Institut a lu « Solitude d’Israël » de Bernard-Henri Lévy. Un ouvrage qui répond à la question de la présence d’Israël dans le monde.
L’écrivain laisse au vestiaire les grands mots lyrico-sévères pour livrer une foudroyante radioscopie du 7 octobre. Et revenir à l’essence de l’âme juive.
Bernard-Henri Lévy a répondu sur les sujets les plus divers aux questions de Denis Tillinac. Un dialogue sans fard.
Dans « L’Idéologie française », Lévy par à la recherche, en France même, de la souche d’une certaine sensibilité totalitaire.
Ses façons d’émeutier mâtinées de dandysme rendent BHL plus conforme à la chevalerie lettrée du XIXe siècle qu’au froid désenchantement du nôtre.
BHL joue le jeu des vrais romanciers, au corps à corps avec les réalités. Il s’essaie même à des styles différents.
Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.
Archange des nouveaux philosophes et militant des droits de l’homme, BHL a succombé, lui aussi, à la tentation romanesque. François Nourissier découvre un jeune auteur...
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