Bernard-Henri Lévy décrit la façon dont il a conçu son accrochage pour briser les idées reçues sur l’idolâtrie et l’iconoclastie.
Invité par la Fondation Maeght, à Saint-Paul-de-Vence, l’écrivain est le commissaire d’une exposition remarquable qui alterne inédits et raretés.
Signataire de la pétition de SOS Racisme, Bernard-Henri Lévy, appelle Nicolas Sarkozy à « faire machine arrière » sur le débat sur l’identité nationale, qui, estime-t-il, « ne fait que le distendre le lien communautaire ».
En publiant « De la guerre en philosophie », Bernard-Henri Lévy défend son travail et son statut de penseur.
Mêlant la guerre de 14 et celle des années 90, la pièce du philosophe a été présentée à Sarajevo, avec un très grand Weber.
Bernard-Henri Lévy, qui publie « La Guerre sans l’aimer », revient sur le rôle qu’il a joué dans l’intervention militaire en Libye contre Kadhafi, et donne sa vision de l’avenir du pays.
Michel Houellebecq et BHL : le tandem est bon. Il n’y a pas là le poète et l’idéologue, mais deux voix d’écrivains, à forces égales.
Le philosophe s’inquiète du naufrage d’un hebdomadaire modéré. Il pleure la disparition d’un ami et célèbre le « ¡No pasaran! » ukrainien.
Dans un pamphlet dégainé à peine l’épidémie éteinte, Bernard-Henri Lévy s’interroge sur ce confinement qui a duré plus de deux mois. N’aurions-nous pas sacrifié les principes vitaux de la liberté et de la démocratie ?
Des écrivains internationaux racontent à « Libération » les raisons qui les ont poussé à répondre à l’appel de Bernard-Henri Lévy sur l’Europe.
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