Ses façons d’émeutier mâtinées de dandysme rendent BHL plus conforme à la chevalerie lettrée du XIXe siècle qu’au froid désenchantement du nôtre.
Avec « Peshmerga », Bernard-Henri Lévy témoigne au plus près de l’engagement des combattants kurdes contre Daech. Un film vrai.
Cette longue conversation entre Bernard-Henri Lévy et Norman Mailer s’est tenue à Cape Cod, chez l’écrivain américain, quelques mois avant sa mort.
En février 2016, alors que sort « L’Esprit du judaïsme », BHL dialogue autour de la nouvelle question juive avec le fondateur de « L’Obs » à qui l’on doit « La Prison juive ». Un débat historique, philosophique, politique, qui est aussi une dispute métaphysique.
« Peshmerga », c’est le cinéma de guerre au temps des drones et des Go-pro. Et pour leçon : à la fin de Daech, dans l’après-Assad qui tôt ou tard adviendra, il faudra bâtir un Kurdistan unifié, indépendant et démocratique.
Sur les cimaises de la Fondation Maeght, Bernard-Henri Lévy raconte en 130 œuvres, de la Renaissance à aujourd’hui, le combat millénaire entre artistes et philosophes. Parcours guidé.
Platon et Sartre. Kundera et les écrivains contemporains. La philosophie : un art de la guerre. La littérature : un art du camouflage.
La loi Falloux et ses comédies. Un mot encore sur Judas. Une lettre de Machiavel. Merci, Garcin ; bienvenue, Prévost.
A Sarajevo, conversation avec le général Briquemont. Israël et le Vatican : solde de tout compte ? Jésus, Judas et Tarkovsky. Jean d’Ormesson et la littérature. Jean-Claude Fasquelle et son grand-père. Pour en finir avec la biologie, et ses mythes.
Après avoir, dans la première partie de cet entretien traité du « malaise d’époque », (« Le Monde » du 4 janvier 1978), Bernard-Henri Lévy, auteur de « La Barbarie à visage humain », parle ici du « destin de l’intelligence ».
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