Le mouvement est à la croisée des chemins : préférera-t-il casser que réformer, s'enivrer du chaos plutôt qu'améliorer la vie des humbles ?
Dommage pour « Belle du Seigneur ». Un meurtre pour une minute d'antenne. Faut-il épeler les noms des otages français au Liban ? A la guerre comme à la guerre. Jean-Bernard Raimond n’a rien compris. Tabassage dans les commissariats. Refuser la guerre civile. S.O.S. Racisme, lui, a tout compris. Ras le bol l’union sacrée.
Ahmadinejad et Chavez contre les pauvres. Moravia aurait 100 ans. Le trou noir pakistanais. « Belle du Seigneur » selon Nicole Avril. Poutine, voyou ?
Albert Cohen voyait en BHL l'incarnation de son Solal, le « Prince de Samarie ». Retour sur l'amitié entre les deux écrivains à travers trois lettres de l'auteur de « Belle du Seigneur », adressées à celui du « Testament de Dieu ».
Le philosophe Bernard-Henri Lévy a été l’ami du créateur de « Belle du Seigneur », à la fin des années 70 et au tournant des années 80. Récit d’une complicité et témoignage d’une admiration.
Les deux écrivains se sont régulièrement vus jusqu’à la mort d'Albert Cohen, le 17 octobre 1981. Leurs rencontres auront toujours lieu à Genève, au 7 avenue Krieg où l’auteur de « Belle du Seigneur » vivait avec sa femme Bella. BHL et Cohen eurent de nombreux projets en commun, tantôt cinématographiques, tantôt littéraires.
Le compositeur de la bande originale des derniers films du philosophe est mort à 50 ans. Albert Cohen en avait 73 à la sortie de « Belle du Seigneur ».
Et si BHL, le maître médiatique de la Nouvelle philosophie, était tout simplement un romancier des plus traditionnels ?
L’exploration de son deuxième roman, « Les Derniers jours de Charles Baudelaire », permet de redécouvrir Bernard-Henri Lévy.
Prix Nobel au Judaïsme. Les philosophes n’ont pas d’histoire. La masturbation de Ludwig Wittgenstein. Roland Dumas et le Front national. Retour à la Colombe d'Or. Pas de ratures pour Albert Cohen. Éloge du parisianisme. Relire Oscar Wilde.
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