On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
César a été cet avant-gardiste facétieux ajoutant à l’histoire de son art quelques gestes inédits. Mais il a d’abord été un sculpteur.
Merci aux « sans-papiers ». Pourquoi ils ne sont pas des clandestins. Réformer les lois Pasqua. Enfin le vrai débat. Renouer avec le génie français.
La grande erreur serait de voir dans l’affaire Taubira, comme cela s’est dit ici ou là, une histoire de « bobos ».
Savoir que la culture et l’information coûtent est sain. Supprimer la contribution à l’audiovisuel public serait une erreur.
Réunies aujourd'hui à Vienne (Autriche) autour de Bernard-Henri Lévy, et de personnalités européennes et ukrainiennes, la toute nouvelle Agence pour la modernisation de l'Ukraine se donne 200 jours pour rédiger un projet de « plan Marshall ». A suivre...
Bernard-Henri Lévy intervient lors d’un colloque à la New York University, qui aborde l’œuvre de Romain Gary. Le philosophe s’interroge alors sur ce qu’il appelle « le cas Gary », c’est-à-dire l’affaire Émile Ajar.
Alors qu’il entame à Milan une tournée théâtrale européenne, le philosophe revient sur cette Italie gouvernée par l’attelage populiste Salvini-Di Maio.
Pour Bernard-Henri Lévy, Alexis Tsipras, même renforcé par son référendum, n'a aucune leçon de démocratie à donner à ses homologues européens.
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