BHL nous confronte à cette réalité qui dérange et alarme, celle des guerres oubliées où l’on meurt dans l’indifférence universelle.
Izetbegovic s’est confié sans détour à l’écrivain, sur une note intime et crépusculaire, révélant des aspects méconnus de la guerre.
Il y a de multiples manières de lire ce foisonnant « Siècle de Sartre » de BHL, guidé par un enthousiasme, un emportement, un élan vers Sartre.
Dans ce « journal d’un écrivain au temps de la guerre de Bosnie », Bernard-Henri Lévy se montre très lucide, aigu et sans complaisance.
« La Règle du jeu » se propose de définir un nouvel esprit des lois, et de défendre avec fermeté la ligne d’un « cosmopolitisme » intellectuel.
L’enfant terrible de la philosophie s’explique sur ses rapports avec les médias, sa conception de l’engagement, le rôle de l’intellectuel dans la société.
Après avoir, dans la première partie de cet entretien traité du « malaise d’époque », (« Le Monde » du 4 janvier 1978), Bernard-Henri Lévy, auteur de « La Barbarie à visage humain », parle ici du « destin de l’intelligence ».
Auteur de « La Barbarie à visage humain », Bernard-Henri Lévy, normalien, agrégé de philosophie, passe à vingt-neuf ans pour le chef de file des courants dits des « nouveaux philosophes ». Il expose ici ses réflexions personnelles sur les rapports entre la morale et l’histoire.
Un regard lointain pourrait associer leurs origines et leur mythologie : le marxisme d’avant 68, Cuba, la Bolivie et le Che pour Régis Debray ; le gauchisme de 68, le Bangladesh et l’Afghanistan pour Bernard-Henri Lévy... Mais en y regardant de plus près, tout oppose désormais ces deux intellectuels. Explications.
Mon ami Verdiglione. Le Pen et les chambres à gaz. Vienne, berceau du nazisme. Relire Hermann Broch, de toute urgence. Les salades de Tchernobyl. Les pompiers de l’Apocalypse. Un Sakharov mallarméen. Sartre ne comprend rien à la littérature. Dieu garde l'écrivain et ses héritiers.
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