Premier bilan de cette guerre imbécile, improvisée, dont les buts changent au gré des humeurs, des circonstances, des sondages.
La guerre en Irak : morally right, politically wrong. Poutine à l’Académie. Pauwels ressuscité. La mort de Daniel Toscan du Plantier.
Le philosophe a lu « La guerre des Bush » d’Eric Laurent (Plon), un livre de bonne politique dont il recommande la lecture. Critique.
De quoi l’année à venir sera-t-elle le nom, le symptôme, l’occasion ? Le philosophe formule ses vœux pour un avenir proche.
Il vient de se produire, sur le théâtre d’ombres qu’est la scène politique iranienne, une série d’événements dont on n’a pas pris la mesure.
L’exécution de Saddam fut une erreur. Les enfants de don Quichotte rendent visible cette part d’elles-mêmes que les sociétés plongent dans l’invisibilité.
À l’aube de la nouvelle année, BHL revient sur les moments décisifs qui ont marqué l’année 2006. Rétrospective.
Quel serait l’état du monde si le 11 septembre n’avait pas eu lieu ? En posant cette question, BHL révèle les conséquences de cette tragédie.
La guerre en Irak était une guerre absurde, mal conduite, qui a augmenté le nombre et la puissance des islamistes radicaux et des terroristes.
La plausibilité de la guerre atomique ne mérite-t-elle pas que l’on interroge une politique énergétique qui nous fait acheter l’énergie qui nous tuera ?
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