Bernard-Henri Lévy a répondu sur les sujets les plus divers aux questions de Denis Tillinac. Un dialogue sans fard.
En répondant à Maurice Bardèche, sur le plateau d’« Apostrophe », BHL a servi notre Mémoire. Superbement.
Dans son dernier essai BHL réactive opportunément le débat – déjà ancien – sur ce qui peut, ce que doit être un intellectuel français.
La crise molle que traverse l’intelligentsia, son discrédit, sa disqualification sourde, sont-elles le prélude à sa disparition ?
En février 1981, en pleine bataille sur « L’Idéologie Française », Raymond Aron interpelle BHL dans « L’Express », qui lui répond.
Raymond Aron a lu « L’Idéologie française », et attaque le livre de BHL qui fait le procès du pétainisme et de la Révolution nationale.
Dans « L’Idéologie française », Lévy par à la recherche, en France même, de la souche d’une certaine sensibilité totalitaire.
Un livre d’Alexis Lacroix sur Raymond Aron permet à l’auteur de « L’Idéologie française » de brosser le portrait du grand penseur français du libéralisme politique.
Voilà un écrivain, Bernard-Henri Lévy, qui, avec son premier roman « Le Diable en tête », ne triche pas avec les mots.
Avec « Le Diable en tête », Bernard-Henri Lévy aborde pour la première fois le roman, en prenant des risques.
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