Quels souvenirs laissera de lui le militant BHL ? Un certain goût du risque. Un touche-à-tout qui a inventé une forme du voyage intelligent.
Le philosophe et cinéaste, qui a dirigé Alain Delon dans « Le Jour et la Nuit », brosse le portrait de son ami, en proie à des turpitudes familiales.
Une réussite, ce premier roman de BHL ? Eh bien, oui ! C’est un livre passionnant, inclassable. Et une indiscutable entrée en littérature.
BHL signe un feuilleton haletant en cinq épisodes avec du suspense, des grands sentiments, de la politique et un drame familial.
BHL signe « Le Diable en tête », son premier roman, et affirme que son héros est « une sorte de raccourci, de court-circuit du siècle ».
BHL signe le roman de la dissonance, du croisement serré des vérités contradictoires, du malentendu, de l’équivoque.
Avec son premier roman, « Le Diable en tête », BHL vient de remporter le Prix Médicis. Quels sont ses projets et ses ambitions ?
Avec son premier roman BHL fait le portrait de la génération perdue du demi-siècle, de 1940 à nos jours, en énumérant ses rêves brisés.
BHL est entré en littérature avec fougue, signant une fresque fascinante, émouvante, dérangeante aussi.
BHL a mis la dose, en bouillant jeune philosophe : son premier roman est-il un coup d’essai, un coup de maître ?
Réseaux sociaux officiels