« C’est la rentrée où... » Le philosophe interroge les possibilités, certitudes et incertitudes, des mois qui suivront la rentrée 2003.
Bernard-Henri Lévy a vu l’adaptation des « Liaisons dangereuses » de Laclos par Josée Dayan, et lu la biographie de Cocteau par Claude Arnaud.
L’altermondialisme sous le signe de la démagogie populiste et d’un narcissisme communautaire, frise parfois l’obscène.
Colonna et Mérimée. John Locke et la liberté d’expression. Kristeva et Augustin. De Nazareth à l’Etat rationnel hégélien, et retour. Les GI à Monrovia ! Beau comme du Rothko. La maison de fous de Kontchalovsky. La différence entre Aragon et Drieu ? Delon en DVD.
Péguy, Benda et Bové. La métaphore selon Valéry. Pour une paix sèche. Raffarin à Saint-Pétersbourg. Paul Guilbert, un an après. Parcours de Hervé Bourges. Berlusconi, quelle honte ! L’honneur des journalistes.
Fabius sur Cuba trouve les mots de la refondation. Que reste-t-il de l’affaire Baudis ? Publication des « Cahiers d’études lévinassiennes ».
On ne peut s’empêcher, si l’on est attaché à la cause d’Israël et à celle de la justice à l’endroit des Palestiniens, de reprendre timidement espoir.
Une lettre de Maurice Clavel. Le Musée de Philippe Sollers. Le nouveau paradoxe du comédien. Hobbesiens ou kantiens ? Villepin, l’anti-Kojève. Guy Konopnicki et la gauche en folie. Quand Hemingway désavoue Orson Welles. Yannick Haenel parmi les avalanches. Est-il encore permis de défendre Israël ? Clémence Boulouque et son livre-deuil. Dernières paroles de Françoise Giroud. Le risque d’avoir un jour un biographe.
Voilà quelques-uns des chantiers ouverts, plus que jamais, à la réflexion et à l’action à l’occasion de la guerre en Irak...
Premier bilan de cette guerre imbécile, improvisée, dont les buts changent au gré des humeurs, des circonstances, des sondages.
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