Bernard-Henri Lévy, dans son « Éloge des intellectuels », en quelques pages brillantes, décrit et analyse la banalisation de la pensée.
Le premier roman de BHL se lit avec fièvre. Le tragique est là, bien intégré dans un panorama de notre temps.
Le premier roman de BHL raconte la destinée tragique d’un rejeton de la grande bourgeoisie parisienne né sous l’Occupation.
Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.
Dans un livre passionnant et foisonnant, « Récidives », BHL brosse le portrait de l’intellectuel du XXIe siècle.
Oui, le diable existe : BHL l’a raconté... C’est un vieux pays au drapeau tricolore, chargé d’histoire, et qui voue un culte coupable à ses héros... Cette haine de la France, Bernard-Henri Lévy la poursuit avec une belle persévérance dans « Le Diable en tête », son premier roman.
Qu’avait découvert le journaliste Daniel Pearl, assassiné à Karachi ? Bernard-Henri Lévy reprend l’enquête et signe une fresque terrifiante.
BHL a été récompensé l’an dernier par le Prix Interallié pour un roman étincelant : « Les Derniers jours de Charles Baudelaire ». Conversation.
Bernard-Henri Lévy pour « Les Derniers jours de Charles Baudelaire » s’entretient avec Maurice Szafran.
Le compte rendu d’Élisabeth Ravoux-Rallo, maître de conférences à l’Université de Provence, à propos du roman de BHL sur Baudelaire.
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