Attaquer pour « complicité » avec Aussaresses l’éditeur de son livre, Olivier Orban, est une affaire est extrêmement grave.
La débâcle des talibans et la victoire éclair d’une stratégie militaro-politique à l’habilité insoupçonnée pour bon nombre d’observateurs.
La guerre en tant que telle est, par principe aussi, une abjection. Mais, cela étant posé, on pourrait faire le raisonnement inverse...
Les lettres de Jacques-Alain Miller. Claudel le Bénisseur. Sollers, Pleynet et Mozart. Un mot de Faulkner : « le détail qui sonne faux ». Derrida publie trop. Le questionnaire de Proust appartient, en fait, à Mallarmé. Hemingway et Dieu.
Dommages collatéraux ? Bush-Ben Laden même combat ? Crétinisme américain ? Et si les Palestiniens avaient un Etat ? Al-Hayat contre Al-Jezira ? La guerre toujours.
Si « Sobibor » de Lanzmann est si important, s’il semble si essentiel de se précipiter dans les salles pour le voir, c’est pour, au moins, trois raisons.
Que faudra-t-il faire des tours jumelles dévastées par les attentats suicides du 11 septembre ? Vive discussion.
Le plus navrant, le plus inquiétant, serait que la lutte contre le racisme, sur fond de concurrence victimaire, serve de tremplin à une nouvelle haine.
Le livre de Claude Askolovitch sur Lionel Jospin est beaucoup plus passionnant qu’une simple « bio ». Ne mélangeons pas tout sur Israël.
Walter Benjamin et le roman. Encore Jünger. Goethe et les Corses. Hegel, Rosenzweig et le peuple élu. Obscurité de Lacan ? Du lapsus en littérature.
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