Faut-il brûler Nolte ? demandait l’ami Revel. Non, bien sûr. Il faut lire et relire, au contraire. Lire Nolte, et le combattre.
Balzac et le retour des personnages. Avec les Arméniens. Djian et Berger, les antipodes. Métaphysique de Billetdoux. Chasse à l’homme dans la campagne française. Renaud Camus, antisémite.
Esprit de Sarajevo, toujours là. Unique et comparable, la Shoah. Véhémence d’André Glucksmann.
Une « lettre de repentance » signée Jean-Paul II pour les souffrances du peuple juif tout au long de l’histoire de l’Église...
Ne pas oublier que c’est Jean-Paul II qui aura été le premier pape à faire du « devoir de mémoire » un thème de prédication central.
Encore les Guignols. Le « Srebrenica » de Gilles Hertzog. Le sourire du spectre. Mais qu’a donc fait Alain Carignon ? Réponse à Jean-François Revel. Balzac et la réforme de la justice. Admirable Bernard Kouchner.
Les défenseurs des droits de l’homme en Bosnie puis, aujourd’hui, au Kosovo font-ils un usage immodéré de la référence au précédent nazi ?
Levinas et la « parité ». Gérard Wajcman entre Duchamp, Malevitch et Lanzmann.
Le « Massoud » de Ponfilly. Spinoza par Deleuze, Negri, Dollé et quelques autres. Le pardon selon Jankélévitch et Besançon. Levinas ou Debray ? La question de l’argent. Jean Daniel juge de lui-même.
Boutin, Lewinsky, Deviers-Joncour – ou le « Casanova » de Sollers. Platon, Moïse, Benigni – et la représentation du mal absolu.
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