Quatre raisons, au moins, de boycotter les JO de Pékin. Le philosophe a vu « Fitna ». Un Don Juan sentimental à Montpellier ?
Allons-nous bafouer nos principes les plus sacrés en expulsant Abdul Wahid al-Nour, combattant de la liberté, défenseur d’un islam modéré ?
S’il faut qualifier les FARC de « guerriers » pour que soient libérés les otages qui croupissent dans la jungle, alors il faut peut-être s’y résoudre.
Le geste des membres de L’Arche de Zoé remet-il en cause le principe même de l’action humanitaire ?
C’est une polémique étrange, sournoise et, à vrai dire, assez minable qui se développe, depuis des semaines, sur le dos des massacrés du Darfour.
Pour Ingrid Betancourt. Henric et son Atlantide. Barnave, Sartre et son siècle. Ceci n’est pas une guerre.
À bientôt 75 ans, Bernard-Henri Lévy court toujours les conflits de la planète. D’une Ukraine à feu et à sang, mais toujours debout, il a ramené un film « Slava Ukraini », sorti cette semaine.
Compte rendu du livre de Philippe Sands « East West Street » (« Retour à Lemberg » en français, Albin Michel), publié en 2016.
Dans son nouveau livre, « La Guerre sans l’aimer », Bernard-Henri Lévy décrit la face cachée de la révolution libyenne, dont il fut un acteur clé. Philippe Tesson, qui le connaît bien et de longue date, salue les engagements de cet intellectuel épris d’action.
Non, Kadhafi n’a pas « changé ». Il n’a jamais cessé d’être – il demeure – un tyran baroque mais sanguinaire passé maître dans l’art du crime de masse.
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